Cloé Neher : Thérapeute TCA et diabète à Rouen & en visio
👉🏼Renouer avec ton corps
👉🏼Retrouver un comportement alimentaire sain
👉🏼T'éclater et t'épanouir dans ta vie
👉🏼Profiter des autres
👉🏼Vivre pour TOI et pas pour ta maladie
👉🏼Retrouver du sens, de l'envie et de la motivation
👉🏼Te sentir libre et en sécurité
Ça te dit ?
Bonjour,
Je suis Cloé Neher, diabétique de type 1, psychopraticienne en thérapies brèves spécialisée sur la gestion psycho-émotionnelle du diabète de type 1 et des pathologies chroniques. Je m’intéresse aux troubles de l’humeur, aux troubles anxieux et aux troubles du comportement, notamment à ceux des conduites alimentaires (TCA), qui sont fortement corrélés au diabète. Il est toutefois possible de me consulter sans diabète, ou sans TCA, ou en tant qu'accompagnant (parent, partenaire, proche) d'un proche souffrant de l'une ou de l'autre de ces pathologies.
Je peux t'aider si :
Tu as l’impression que la maladie prend trop de place et pèse trop lourd dans ton quotidien
Tu n’arrives pas à penser à autre chose, tu es sans arrêt en train d’anticiper ou d’ajuster, tu n’arrives pas à te concentrer, ni à profiter réellement des autres ou des activités que tu entreprends car tu as l’impression que ta vie se résume justement à devoir tout faire pour préserver tes glycémies et rester dans la cible : cette mission devenue si importante qu’en étant sans cesse au premier plan dans ta tête, elle a effacé tout le reste dans ta vie. Tu es en état d’hypervigilance constant, tu es stressé.e et angoissé.e, et tu ne vois pas comment tu pourrais en sortir. Tu as la croyance que tout ça est tout le temps trop dur, que tu es en danger. Tu te sens dépassé.e et anxieux.se.
Tu sens que la maladie te bride, te soumet et t’empêche de vivre ta vie normalement et librement
Non seulement la maladie est ta meilleure ennemie, ta relation la plus prenante, mais en plus, elle te dit quoi faire et t’encourage souvent à renoncer à des choses que pourtant, tu aimerais pouvoir faire. Week-ends entre potes, sessions piscine, sorties cinéma, soirées pizzas ou burger, virées à l’improviste entre amis… Tout ça c’est plus possible pour toi, et quand tu essayes, tu n’es jamais serein.e. Tu as la croyance que tout ça est dangereux, et que tu ne peux pas te faire confiance, ni à la technologie. Rester chez toi, en sécurité et au calme, dans ta zone de confort, est ta meilleure option : au moins là, tu auras moins de risques de faire des hypoglycémies ou des hyperglycémies, et tu sauras gérer sans problème.
Tu te sens mal dans ton corps
Tu te sens déconnecté.e de lui, et les seules sensations que tu perçois sont majoritairement désagréables (douleurs physiques, inconfort, gêne, symptômes des variations glycémiques). Tu en veux à ton corps : tu l’as même peut-être déjà traité d’incapable ou de traitre. Tu te demandes souvent pourquoi il t’a abandonné, trahi, pourquoi il n’est pas capable de fonctionner correctement. Tu te méfies de lui comme d’un étranger.
Pour te venger tu l’as peu à peu oublié, ignoré, redouté, rabaissé, voire, peut-être parfois, martyrisé via :
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Trop de sport, ou alors pas du tout
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L’adoption d’un comportement alimentaire toxique (rigidité alimentaire, restriction, privation, crises compulsives, “craquages”, compensation)
En conséquence ton estime de toi est à 0, l’image que tu as de ce corps médicalisé qui est le tien est très négative. Tu te trouves moche, pas sexy, tu as honte de tes dispositifs, que tu as du mal à assumer en public, mais aussi seul.e. Dans ce conflit qui s’éternise entre toi et ton corps, tu as totalement perdu confiance en toi.
Tu te sens mal dans ton cœur, tu as du mal à comprendre et à traverser tes émotions
Tes envies, tes rêves et tes aspirations profondes te semblent inaccessibles. tes émotions sont souvent intenses mais tu n’arrives pas à les vivre de manière authentique. Soit tu les fuis, soit tu les combats, ou alors, elles t’engloutissent totalement, ce qui a un impact énorme sur ta relation à toi-même, et aux autres. Tu ressens souvent beaucoup de colère, ou beaucoup de tristesse. Tu as l’impression d’être souvent en conflit interne, comme si différentes parties de toi se battaient à l’intérieur. Tu as donc du mal à te sentir aligné.e, à agir correctement, en fonction de ce qui compte VRAIMENT pour toi, dans la joie et la légèreté.
Tu te sens mal dans ta tête
Tes pensées sont trop nombreuses, et trop anxiogènes. “Il faut que,” “je dois,” “c’est important que,” “ce n’est pas bien quand,” “je ne suis pas assez x”, “je suis trop x”, “j'aurais dû”... Toutes ces injonctions rythment ton quotidien et ne te laissent pas respirer, vu que tu ne t’accordes pas le droit à l’erreur. Et en même temps, tu n’as jamais l’impression de l’être assez. Du coup, tu culpabilises souvent, en te disant que tu n’es pas assez bien, ou pas assez fort.e.
Tu as lâché l’affaire, tu te sens dépassé(e) et tu ne sais plus comment faire
A quoi bon continuer, si chaque jour est une lutte ? Face à l’intransigeance de la maladie, tu as capitulé. C’est trop dur. Tu ne te traites plus, ou qu’en partie. Tu n’as rien demandé à personne, et c’est injuste de devoir faire le job d’un organe en continu : puisque ça gâche cette vie à laquelle tu tiens tant, tu as choisi ton camp. Tu préfères vivre ta vie, que la maladie suive ou pas. Pourtant, tu es lucide. Tu sais ce que ça te coûte physiquement et psychologiquement. Tu ressens pleinement cette fatigue et ce mal-être physique au quotidien, dû à la carence en insuline et aux hyperglycémies. Tu sais très bien que ton attitude n’est pas top pour ton état de santé général, et qu’elle ne te rend pas vraiment service. Tu subis tes humeurs, ton manque de motivation, ta lassitude, ou alors ton impulsivité. Tu subis ton déni et les comportements que tu adoptes et qui vont à l’encontre de ton bien-être. Mais tu ne sais pas comment te remettre sur les rails, et tu ne crois même pas trop que ce soit possible. Tu te demandes comment, une fois dessus, tu pourrais avancer et vivre ta vie dans la légèreté et le kiff.
Ta relation à l'alimentation est troublée et souffrante
👉🏼RESTRICTION : Ta glycémie veut te contrôler ? Ok. Puisque c’est comme ça, c’est toi qui va contrôler ta glycémie. On va voir qui commande. Et toi, pour soumettre la maladie, et te garantir la paix et la sécurité, t’as choisi : tu vas manger le moins possible, et le mieux possible. Ton seuil de tolérance aux glucides est tout petit, tu les as écarté car ils te font peur : ennemi n°1 de ta glycémie, tu les évites. Et donc, tu te prives. Tu te restreins. Tu te frustres. Et tant pis, car ça marche. Moins d’insuline, moins d’hyperglycémies. Tu contrôles toutes tes prises alimentaires, que tu anticipes et choisis. Pas question d’aller au restau à l’improviste ou de manger quelque chose qui n’est pas OK pour toi. Te faire plaisir ? Hors de question. Tu ne te laisses pas ce droit, ce n’est pas pour toi. Tu tiens comme ça, même si tu sais au fond de toi que ça ne va pas.
👉🏼COMPULSION : Sauf que parfois, tu craques. Ton corps et tes émotions te rappellent à l’ordre et tu perds le contrôle. T’avais tout bien fait, t’étais dans les clous, et tout à coup, ça dérape : prise alimentaire compulsive, tu manges tout et n’importe quoi sans calculer, sans te limiter. Ca te fait du bien sur le coup, et après, la culpabilité t’assaille. Surtout quand ta glycémie s’envole. Alors tu te morfonds en t'auto-flagellant, ou en compensant (vomissements, laxatifs, sport à outrance). Et ça, évidemment, c’est très souffrant pour toi.
👉🏼DENI : Ou alors… l’idée que ta glycémie te soumette est inconcevable, et tu veux lui montrer qu’elle va perdre à ce jeu. Alors tu la nargues. Tu manges comme tu as toujours aimé manger, sans prendre la maladie en considération. Parfois même, tu manges au-delà de tes besoins et au-delà de tes envies. Tu fais exprès de consommer des aliments riches, surtout en glucides, sans écouter ton corps, sans limite. Tu ne te soignes pas, ou peu. Tant pis. Rien ne t’empêchera de te faire plaisir. Mais dans le fond, tu n’es pas sûr.e de qui perd vraiment dans ce jeu…
👉🏼REFUS DE L'INSULINE : la prise d’insuline est rédhibitoire pour toi. Tu la refuses. Tu as terriblement peur qu’elle te fasse grossir, ce qui est inenvisageable pour toi, qui veut à tout prix contrôler ton poids, voire, maigrir. Alors tu ne te soignes pas, ou peu. C’est ta façon à toi de garder le contrôle sur ton apparence. Physiquement, par contre, c’est pas l’éclate. Tu te sens profondément fatigué.e, diminué.e, ralenti.e pour tout et tout le temps. Ton moral est aux abonnés absents, et ça ne va pas en s’arrangeant.
Ta vie sociale (sentimentale, amicale, familiale et professionnelle) te semble compliquée
Quelle place donner à ton diabète dans tes relations ? Tu n’es pas sûr.e. Est-ce que tu dois pleinement l’intégrer et le rendre visible ? Est-ce qu’il vaut mieux le laisser de côté ? En parler, ou pas ? Tu as déjà du mal à assumer la maladie, mais alors l’assumer auprès des autres, c’est tout sauf simple. Tes appuis sont mouvants, et tu tangues. La frustration est là. Dire non, c’est compliqué. Dire oui aussi. Poser tes limites, tu ne sais pas faire. Exprimer tes besoins, non plus. Demander de l’aide, jamais. Comme tu as du mal à t’écouter, écouter les autres, c’est compliqué aussi. Et tu te compares. Et tu n’es pas connecté.e à tes intuitions. Tu ne prends pas de risque. Et surtout… tu as beau être empathique et compatissant.e envers les autres, tu es incapable de l’être pour toi. Et donc… tu vis mal les humeurs liées à la charge mentale du diabète et aux fluctuations glycémiques, ce qui, évidemment, porte atteinte à tes relations.
Tu as peur des hypoglycémies
Ce que tu redoutes, c’est autant les sensations physiques liées à l’hypo, que les émotions que ça te fait traverser. Tu as peur de te sentir mal à tout point de vue, de ne pas pouvoir gérer et te retrouver dans des situations catastrophiques. Et comme tu veux à tout prix éviter ces expériences, tu as mis des stratégies en place : esquiver le sport. Esquiver les sorties imprévues. Esquiver les lieux où tu pourrais ne pas te sentir en sécurité. Esquiver les prises alimentaires inhabituelles. Te sous-doser, ou ne pas t’injecter d’insuline, quitte à être en hyperglycémie.
Tu te sens globalement bien,
Mais tu as à cœur de travailler sur les points qui te semblent encore fragiles ou juste de prendre soin de ta santé mentale.
Comment ?
Mon but est de réparer ce lien qui est brisé entre ta tête, ton corps et ton cœur. Pour ça, je travaille sur plusieurs axes, articulés différemment selon les profils et les besoins :
💥 Les questions de pardon et de deuil
💥 Le repérage sur le chemin de l'acceptation
💥 La revisite et la réappropriation de l'histoire de vie
💥 La ré-appréhension des émotions
💥 La gestion du stress et de l'angoisse via la régulation du système nerveux
💥 La modification cognitions (croyances dysfonctionnelles)
💥 La modification des comportements inopérants
💥 L'affirmation de soi
💥 La conscience de soi
💥 L'identification des valeurs et des forces
Si tu as des TCA,
Je fonctionne un peu différemment. Mon approche, toute douce, se base sur 4 phases :
❤️🩹 Tu vas me raconter ton histoire de vie en fonction de certains thèmes : ici, on verra ce qui t'a fragilisé et autour de quoi se sont cristallisées tes difficultés. On parlera de comment tu t'adaptes et comment tu te protèges dans ton quotidien, en passant par l'étude de tes croyances et pensées.
❤️🩹 On verra comment apaiser tes angoisses en te reconnectant progressivement et doucement à ton corps.
❤️🩹 On ira dépoussiérer ta vraie identité et mettre au jour le vrai toi, pour lui permettre de reprendre le dessus
❤️🩹 On zoomera sur ton symptôme (le trouble alimentaire), fera connaissance avec lui et étudiera les comportements qu'il te pousse à adopter. On parlera ici plus en profondeur de ta relation à l'alimentation, au poids, à ton apparence, à ton image, et à l'estime que tu as de toi.
Gramme.
Comme dans glycémie.
Comme dans alimentation.
Comme dans poids.
Comme pour tous ces chiffres, et tout ce qu’ils pèsent.
Mes outils
Je suis formée aux principaux concepts et méthodes de la psychothérapie, basés sur l’approche théorique et pratique des Thérapies Brèves et Orientées Solutions. Ces enseignements ont été renforcés par de solides bases en Psychologie Contemporaine et en Psychologie des Profondeurs Jungienne, ainsi que par les principaux courants de psychothérapie.
Mon approche multifacettes s’est construite grâce à plusieurs méthodologies et outils empruntés à la thérapie narrative, aux Thérapies Cognitivo-Comportementales, à la Psychologie positive, à la Gestalt Therapie, à la PNL, à l’art Therapie et à la Systémie.
Elle s’inspire en plus de techniques psycho-corporelles telles que la visualisation, la respiration et la méditation de pleine conscience.
JOIE LÉGERETÉ SÉCURITÉ FLÉXIBILITÉ LIBERTÉ
Mais surtout...
Je crois profondément en la puissance de la rencontre et de l’alliance thérapeutique qui peut se construire entre deux personnes qui se voient et s’écoutent sincèrement. C’est à deux et avec le même niveau d’engagement que l’on porte ce sac à dos plein de pierres jusqu’au sommet de la montagne, quoi qu’il se passe sur ce chemin de résilience.
Un créneau de 60min avec moi pour discuter de ces petits cailloux dans ta chaussure qui t'empêchent d'avancer !
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Adresse
128, route de Darnetal
76000 ROUEN
Présente au cabinet le lundi, mardi matin et jeudi après-midi
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07 61 66 00 32
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Lun. - Ven.
9 h - 19 h
Samedi
9 h - 12 h